Entre faibles ressources, exclusion de plusieurs dispositifs d’aides, alternance d’emplois précaires et de chômage…, les jeunes font partie des catégories les plus susceptibles d’être mal-logées. La jeunesse est une étape charnière de la vie et les destins résidentiels des jeunes influent sur leur champ des possibles : les étudiants qui peuvent décohabiter pourront avoir accès à plus de formations, l’accès à un emploi peut être conditionné par la capacité à obtenir un logement, etc.
D’autre part, le parc de logements disponibles pour les jeunes est, en proportion, un des parcs au coût les plus élevés. Consacrant en moyenne la moitié de leur budget mensuel à leur loyer, les jeunes ont de réelles difficultés à se loger. Les logements manquent dans le parc social (résidences universitaires des CROUS pour les étudiants…) et les logements dans le secteur locatif sont en général extrêmement chers. Les obstacles sont nombreux sur la route des jeunes pour avoir accès à un logement : garant demandé, frais d’agence…
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