Durant ce moment de
réflexion, l’ensemble de l’équipe d’élus a dégagé trois axes de réflexion
principaux relatifs aux rythmes universitaires.
Une première équipe
d’élus s’est interrogée sur les emplois du temps. En est ressorti dans un
premier temps la nécessité de faire un état des lieux du taux
d’occupation des différentes plages horaires afin de connaître les marges de
manœuvres au sein des différentes structures. Il a semblé essentiel lors de
cette discussion de réaliser une enquête de satisfaction auprès de l’ensemble
des étudiants pour mettre en lumière les incohérences des emplois du temps. De
plus, une réflexion sur l’occupation des salles du CROUS pour pallier un
éventuel problème de capacité d’accueil a semblé opportune.
Une seconde équipe a
choisi de travailler sur les problématiques relatives à la pause méridienne.
Plusieurs constats ont été faits, notamment que de 12h à 13h trop d’étudiants
se retrouvent à attendre pour pouvoir manger et que dès 13h le choix des plats
est restreint. Il s’agit donc de cadencer les sorties de cours lors de la pause
méridienne (tous les quarts d’heure ou demi-heure) pour permettre une meilleure
fluidification de la queue.La réflexion
a également été portée sur la possibilité de mettre en place des « food
truck » (permettant toutefois d’avoir des repas variés et équilibrés), des
bars à salade ou à sandwichs, des self-services, ou encore la possibilité de
payer à l’avance les plats pour éviter à la fois le gaspillage et l’attente.
Enfin, la troisième et
dernière équipe d’élus a choisi de travailler sur les taux d’occupation des
locaux. En effet, ceci sont de plus en plus problématiques et risquent d’amener
à un contingentement. Afin d’éviter cette situation, les élus pensent qu’il faudrait
mieux aménager les emplois du temps pour éviter d’avoir des journées
surchargées et d’autres « sous-chargées », mais également inciter les
professeurs à ne pas délaisser certains créneaux (le lundi matin ou le vendredi
après-midi). De plus, il paraît nécessaire d’accentuer les relations entre les
UFR afin de mettre en place un échange de locaux.
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