Dès à présent, les étudiants et les associations étudiantes pourront bénéficier de formations remises à jour, intégrant une place plus importante à la sensibilisation aux inégalités homme-femme.
Autre acteur incontournable, l’Université devra prendre ses responsabilités. A l’Université Toulouse 3 Paul Sabatier, le travail a déjà commencé avec notamment la réflexion autour de l’orientation dans des filières jugées à tort comme « masculines » ou « féminines ». De plus, les élu-e-s de l’AGEMP, issus des listes BOUGE TA FAC auront à cœur de travailler à la rédaction d’une charte de l’égalité homme femme, à l’instar de ce qui s’est fait à l’université de Bordeaux.
La journée internationale des droits des Femmes, c’est l’occasion de faire le bilan mais aussi de se projeter, de mettre en place des projets. Pour nous, les associations étudiantes, ces dernières années, l’heure était à la remise en question, à une réelle prise de conscience de notre impact sur les jeunes et de notre rôle, et pour tout dire, il était temps.
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